من متولد 1348در ایران هستم.
Je suis né 12 janvier1970 et
J'ai étudié au nord d'Iran.
بعد از گذراندن دوره کارشناسی برق- مخابرات از دانشگاه علم وصنعت در زمینه مخابرات دریائی - کامپیوتر و تجهیزات فنی فعالیت کرده ام.
Je suis ingénieur dans la télécommunication
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Déjà expérimentée chez l'animal, une thérapie génique a fait l'objet
d'un essai chez quinze patients souffrant depuis au moins cinq ans
d'une maladie de Parkinson et présentant les complications motrices
classiquement observées avec le traitement médicamenteux. Coordonnée le
professeur Stéphane Palfi, chef du service de neuro-chirurgie de
l'hôpital Henri-Mondor (Créteil, Assistance publique-hôpitaux de Paris), une équipe franco-britannique comprenant des chercheurs de l'Inserm et du CEA en publie les premiers résultats dans la revue The Lancet daté de vendredi 10 janvier. Le Parkinson est la deuxième maladie neurodégénérative la plus fréquente en France après la maladie d'Alzheimer.
L'étude montre que le transfert des gènes gouvernant la synthèse de trois enzymes est bien toléré et permet de rétablir
la fabrication par une structure cérébrale d'un neurotransmetteur
décisif pour le contrôle de la motricité, la dopamine. Dans la maladie
de Parkinson, qui touche quelque 120000 personnes en France, la dégénérescence progressive des neurones cérébraux de la « substance noire »,
qui produisent la dopamine, est à l'origine des manifestations de plus
en plus sévères : tremblements, rigidité des membres, diminution des
mouvements corporels...
LUNE DE MIEL
Le traitement médicamenteux fait appel à la L-dopa, un
précurseur de la dopamine qui mime son action. Il donne de bons
résultats en termes de motricité dans les formes débutantes de la
maladie, mais inéluctablement cette « lune de miel » se
termine. En règle générale, après quelques années, l'efficacité du
traitement fluctue et des complications motrices surviennent, avec des
mouvements anormaux involontaires.
« Ils sont aussi invalidants que les signes présents
avant le traitement par la L-dopa. Ils résulteraient de l'administration
orale et discontinue de L-dopa, qui entraînerait des pics de
concentration dans le cerveau », a rappelé le professeur Palfi lors d'une conférence de presse jeudi 9
janvier. D'où l'idée d'une thérapie génique aboutissant à une sécrétion
continue et localement dans le cerveau de dopamine. Le concept repose
sur le fait que trois enzymes permettent à un neurone de produire de la dopamine. Il suffirait donc de lui apporter les gènes gouvernant leur synthèse grâce à un vecteur viral.
Les chercheurs ont travaillé avec la société de
biotechnologie britannique Oxford Biomedica, qui a assuré la
quasi-totalité du financement des essais. Après les études in vitro, la
technique a été testée chez le rongeur, puis chez le primate. Un nouveau
type de vecteur, baptisé ProSavin, a été mis au point pour transporter les trois gènes thérapeutiques. Il dérive d'un lentivirus du cheval (le lentivirus le plus connu est le VIH, agent du sida) et a été rendu inoffensif.
INJECTION BILATÉRALE
La thérapie génique nécessite une intervention dite
stéréotaxique où, après repérage radiologique, une aiguille injecte une
solution contenant le vecteur et les gènes précisément dans la région
motrice d'une structure du cerveau, en l'occurrence le striatum,
présente dans chaque hémisphère. L'injection est réalisée de manière
bilatérale, sous anesthésie générale. Le vecteur parvient à la membrane
du neurone et l'enveloppe contenant son génome, gènes correcteurs
compris, gagne le noyau du neurone dans lequel il s'intègre. Les études
préliminaires chez l'animal avaient montré que les gènes correcteurs
peuvent alors s'exprimer et entraîner la production de dopamine.
Le premier patient participant à cet essai clinique a reçu la thérapie génique en mars 2008. Quatorze autres ont suivi, en France et au Royaume-Uni, avec trois niveaux (bas, moyen, élevé) de doses administrées selon les patients. Tous les patients étaient sur pied dans les 24 heures suivant la chirurgie et tous les quinze ont quitté l'hôpital une grosse semaine après l'intervention. «
Il n'y a pas eu de réponse inflammatoire et pas d'effet indésirable
sérieux. Nous avons plusieurs années de recul avec une très bonne
tolérance », souligne le professeur Palfi.
Une amélioration significative des scores moyens obtenus sur une échelle évaluant la gravité
des symptômes de la maladie a été notée chez tous les patients à six
mois de distance de l'intervention, ainsi qu'à un an, indiquent les
chercheurs dans leur article. L'amélioration porte sur la motricité
(rigidité et diminution des mouvements) mais non sur le tremblement. « Il faut noter qu'il existe une relation effet-dose : le bénéfice augmente avec l'importance de la dose », insiste le professeur Palfi.
L'infante Cristina est soupçonnée de fraude fiscale et de blanchiment de
capitaux. Le juge cherche à établir si elle a eu des liens avec les
activités frauduleuses présumées de son époux Iñaki Urdangarin.
Chaque année, l'incipit est le même : « Voici mes bonnes
résolutions : arrêter de fumer, trouver un nouveau job, déménager,
adopter un mode de vie ultrasain, etc. »
Les gisements de phosphates du Maroc sont aussi une source
inépuisable d’ossements d’animaux fossilisés qui recoupe la période où
les dinosaures ont disparu.
L'Américaine Lindsey Vonn a annoncé mardi qu'elle renonçait aux Jeux olympiques organisés à Sotchi du 7 au 23 février. Elle souffre d'une blesssure au genou droit depuis les Mondiaux 2013.
Dans les pays en développement, et notamment au Mexique, le nombre d'obèses a presque quadruplé entre 1980 et 2008. Les conséquences sur les dépenses de santé sont majeures.
Trente-neuf baleines-pilotes ont trouvé la mort sur une plage de Nouvelle-Zélande
où elle se sont échouées volontairement, selon des responsables de
l'environnement. Ces baleines, appelées aussi globicéphales, sont
coutumières de ce genre d'échouage collectif dont les raisons demeurent
mystérieuses.
Elles avaient été repérées au moment de leur approche vers la plage
de Golden Bay, dans le sud du pays, mais les rangers néo-zélandais n'ont
pas pu les empêcher de s'échouer. Douze de ces baleines sont mortes naturellement, les autres ont été abattues faute de pouvoirêtre remises à l'eau.
Les baleines-pilotes appartiennent à la famille des dauphins. Elles peuvent atteindre, une fois adultes, six ou sept mètres de long et peser
jusqu'à quatre tonnes. Les phénomènes d'échouage de masse sont
relativement fréquents pour cette espèce et se produisent deux ou trois
fois par an en Nouvelle-Zélande.
PAS DE LIENS DE PARENTÉ
En mars dernier, une étude dirigée par le biologiste français Marc
Oremus de l'université d'Auckland en Nouvelle-Zélande, publiée dans la
revue Journal of Heredity, avait conclu que la parenté entre baleines était hors de cause dans ces échouages de masse.
Les scientifiques ont recensé l'ADN de 490 baleines-pilotes lors de douze épisodes d'échouage en Australie
et en Nouvelle-Zélande. Ils attestent que la plupart des baleines
échouées ensemble n'ont souvent aucun lien de parenté et que les
baleineaux en particulier se trouvent très loin de leur mère.
Scott Baker, de l'université américaine de l'Oregon, souligne qu'une autre hypothèse est envisagée. « Il pourrait s'agir
de forces sociales à l'œuvre, mais elles ne reposeraient pas sur le
lien de parenté comme nous le pensions jusqu'ici. Ce pourrait être une forme de concurrence entre différents groupes »,
avance-t-il. Les chercheurs évoquent des rivalités liées à la recherche
de proies, à la reproduction et même des confrontations directes entre
groupes.
DES CAUSES POTENTIELLEMENT LIÉES À L'ACTIVITÉ HUMAINE
Reste surtout, en l'état actuel des connaissances, l'explication environnementale : désorientation due aux pollutions sonores, réchauffement de l'eau, montée des océans, etc. En 2008, par exemple, l'échouage d'une centaine de dauphins d'Electre près de Madagascar
a été expliqué par l'utilisation d'un sonar de cartographie à haute
fréquence par la compagnie pétrolière ExxonMobil – qui avait rejeté ces
conclusions d'un rapport d'experts. Ces sonars produisent des sons
puissants qui auraient désorienté les cétacés.
En novembre, ce sont huit
cétacés d'une espèce très rare, des baleines à bec de Longman, qui
s'étaient échoués sur une plage de Nouvelle-Calédonie. Quatre sont
morts. Dotée d'un rostre long et fin, cette baleine, d'assez grande
taille, vit habituellement au large dans des eaux de plus de 1000 mètres de profondeur dans le bassin Indo-Pacifique et n'avaient jamais été vues sur l'île.
Des habitants de la région se sont aussitôt interrogés sur un lien
avec la rupture, survenue quelques jours auparavant, d'une canalisation
d'évacuation vers la mer des déchets de la gigantesque usine chimique de
traitement de nickel de Vale, située à proximité du lieu d'échouage.