زبان فرانسه  با ایرانیان

زبان فرانسه با ایرانیان

le français avec les Iraniens
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le français avec les Iraniens

Présentation du TCF

Qu'est-ce que le TCF ?

Le Test de connaissance du français (TCF) est le test de français des ministères de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Il a été élaboré afin de doter la France d'un outil d'évaluation standardisé.

Le TCF est un test de niveau linguistique en français langue générale. Le TCF se décline en plusieurs versions : le TCF pour public général et pour les étudiants (TCF); le TCF pour les futurs étudiants dans le cadre de la demande d'admission préalable (TCF DAP), le TCF pour un public lié aux organismes internationaux (TCF RI); le TCF pour le Québec (TCF Québec) destiné aux candidats qui souhaitent s’installer durablement au Québec.

Les résultats obtenus au test donnent lieu à délivrance d’une attestation de niveau.
Des supports spécifiques existent, sur demande, pour les candidats mal voyants.

Structure de la langue

Choisissez la bonne réponse et cliquez sur le bouton correspondant. 

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A Combien

B Comment

C

D Quand 

Votre réponse?

Nu-demi-semi-mi : accord ou pas

NU et DEMI devant et après un nom 

Les adjectifs nu et demi placés devant le nom resteront invariables et seront reliés par un trait d'union.

ex: Elle est nu-tête

ex: Il utilise des demi-feuilles.

Les adjectifs nu et demi placés après le nom, s'accorderont avec ce nom.

Mais nu s'accorde en genre et en nombre.

ex: Elle a les jambes nues.

Mais demi s'accorde en genre seulement.

ex: Il a utilisé deux feuilles et demie 

DEMI devant un adjectif

Demi placé devant un adjectif est un adverbe donc invariable.

ex: Pour réaliser son gâteau, il préfère des fruits demi-secs. 

MI et SEMI

Ils sont toujours invariables!!!!!

ex: Accroche ce cadre à mi-distance entre les deux fenêtres.

ex: Allongé dans son hamac, il est dans une semi-conscience. 

 

À DEMI

Il est adverbe devant un adjectif et n'admet pas de trait d'union.

ex: Tout en m'écoutant, il avait les yeux à demi fermés. 

 

À NU

C'est un adverbe, et à ce titre, il est invariable

ex: En se confiant ainsi, elle me met à nu devant vous. 

 

REMARQUE

Demi et nu peuvent être employés comme noms et suivent la règle des noms.

ex: Cette pendule ne sonne plus les demies.

ex: Les nus peints par ces artistes sont magnifiques.

Les expressions imagées québécoises

Se prendre pour le patron et agir comme celui qui sait et connaît tout. Agir en petit chef.

Le mot boss, de l'anglais : «boss »,  signifie patron.
Le mot bécosses vient de l’anglais : «back house » et signifie les toilettes sèches, car anciennement situées derrière la maison. Les Canadiens français, historiquement défavorisés économiquement, ont probablement dû utiliser longtemps des «back house ». Les bécosses désignent généralement aujourd'hui des toilettes d'une qualité médiocre. L'expression boss des bécosses est une insulte faite à celui qui se croit supérieur ou qui croit avoir de l'autorité sur son entourage exaspéré par son attitude.

Bourdonnement

 

 

Bzzzzz !

Prendre une chaise

 

 

Prendre une chaise

Se tirer une bûche ne signifie pas porter un tronc d'arbre, mais simplement prendre une chaise. Cette expression vient du début de la colonie. Elle est facile à comprendre quand on connaît les conditions de vie des colons de cette époque. Les maisons étaient bâties de bois coupé à même les terres défrichées. À moins de faire partie de la bourgeoisie, les meubles étaient rares et construits par le père de famille. À part les paillasses pour dormir, on y trouvait seulement une table de cuisine et puisque les chaises étaient souvent plus difficiles à construire, elles étaient facilement remplacées par de simples bûches taillées à la hauteur nécessaire.

Clochette

 

 

 Drelin ! Drelin !

Coup de feu

 

  Pan !  /  Bang !

Accord des adjectifs

Accord des adjectifs : au salon de coiffure  

 

 

 

 

Smilie regrette d'avoir joué à la coiffeuse, elle se rend vite chez 'Simpa'tif' pour « faire réparer les dégâts ».

Dans le salon de coiffure, il y a beaucoup de monde. Des gens de tous les âges, aux cheveux de toutes les couleurs …
elle observe ce qui se passe en attendant son tour.

Vlan

 

Bruit fort et soudain

C’est démodé, de mauvais goût, laid, affreux.

 

 

 C’est démodé, de mauvais goût, laid, affreux. 

Plusieurs histoires circulent au sujet du mot quétaine. La plus  probable suggère que le mot est une déformation du nom de famille Keaton ou  Kitten. Cette famille vivait dans un quartier défavorisé de Saint-Hyacinthe au cours des années 1940. On disait qu’elle avait des goûts vestimentaires discutables. C’est ainsi que c’est quétaine  a commencé par désigner une personne mal habillée et ensuite un style, une personne ou une manière de vivre démodé ou de mauvais goût.

 

 

 

Meilleurs voeux de bonheur

 

 

 Meilleurs voeux de bonheur pour cette année 2012  

 

 

 

 

Se tenir à carreau : être sur ses gardes

Se tenir à carreau : être sur ses gardes

A la différence de l'expression "Se garder à carreau" - qui vient du jeu de cartes, d'après le dicton fondé sur l'assonance : qui se garde à carreau n'est jamais capot - "se tenir à carreau" est un peu différent, et peut faire allusion à la carre, la planque, la carrée (où l'on se tient, se cache).

"Si l'on se fréquente entre potes, il faut toujours se tenir à carreau, aux questions répondre vaguement : "Oh ! moi je me défends", à des turbins, qui sont de véritables joyaux, ne donner de publicité que le jour qu'on est bouclé." (J. Genet, "Pompes funèbres") 

 
 

 
 
 

Hésiter

 

  

 Être sur le balan : hésiter
Déverbal de balancer, le balan entre dans la composition de la locution verbale Être sur le balan, qui peut signifier :
Être en équilibre, instable, sur le point de tomber. « La poutre est trop étroite, le garçon est sur le balan. ».

Hésiter, vaciller, être indécis. « Il est sur le balan, il ne sait pas s’il veut rester ici ou déménager. ».

Être sur le point de, se trouver dans une situation limite. « Elle va accoucher, elle est sur le balan. ». On l’emploi également pour désigner quelqu’un très mal en point, à l’article de la mort. « Ce grand malade est sur le balan. »

Être dans un état d’inquiétude face à son sort. « Il est sur le balan : espérons qu’il réussira son dernier examen, sinon il redoublera cette année. ».

Remarque : la variante être en balan qui se trouve dans certains glossaires du XIXe siècle, est devenue très rare en Suisse romande.
Le mot est souvent orthographié ballant, par confusion avec son homonyme.
Quant à la graphie balant, il s’agit d’une création hybride tout à fait isolée, sans assise dans l’usage.

Tomber, se casser la figure

 

 

 

 Se chier : Vocable familier français, également utilisé en français de Suisse pour dire que quelqu’un s’est trompé ; je me suis chié sur l’adresse de mon ostéopathe (je me suis trompée d’adresse), ou a commis une erreur ; Il s’est chié à l’examen d’histoire (il a fait des fautes à l’épreuve d’histoire - il a raté son épreuve) ou encore pour décrire une action : tomber, avoir un accident. Elle s’est pris les pieds dans le tapis et s’est chiée devant l’assemblée (elle s’est retrouvée par terre devant tout le monde).

 

 

Aller se coucher

Se réduire. Verbe pronominal. Se retirer pour dormir, aller se coucher, rentrer chez soi.
C’est le moment de se réduire si on veut se lever tôt demain matin.
Utilisé comme verbe transitif, réduire signifie ranger, remiser, mettre en ordre, faire le ménage. Il devrait réduire sa chambre, c’est un vrai boiton. Il devrait ranger sa chambre, c’est une vraie porcherie.

Très rare dans la langue écrite, tous les emplois du mot figurent pourtant dans toutes les cacologies du XIXe siècle, et on retrouve encore de nombreux exemples dans la littérature romande de la première moitié du XXe siècle.
Jean Matter, écrivain et musicologue autodidacte, utilise dans ses ouvrages et notamment dans le tome II de Parsifal ou le pays Romand, paru en 1969, le terme réduire au sens pronominal.   
«A l’instant de se séparer pour la nuit, Berthe gagna la sortie ; la chambre à donner, qu’elle occupait, ouvrait sur le corridor extérieur. La vieille femme avait peur d’y rester seule, mais elle n’en manifesta rien devant les autres et, une fois réduite, s’enferma à double tour. ».